Retrouvez l'actualité sur Histoire avec Africa Radio | Page 22
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Contactez-nousLe président français Emmanuel Macron va aller plus loin samedi que son prédécesseur François Hollande qui avait admis, en 2012, une "sanglante répression" des Algériens à Paris le 17 octobre 1961, en reconnaissant "une vérité historique" lors des cérémonies officielles qui auront lieu près de Paris.
Le chef de la diplomatie française a réitéré mardi son "respect fondamental de la souveraineté algérienne", dans un climat de tensions entre Paris et Alger, notamment sur la question de leur histoire coloniale commune.
Le procès de l'assassinat, lors d'un putsch il y a 34 ans, du "père de la révolution burkinabè" Thomas Sankara, alors président du Burkina Faso, ne sera pas enregistré "pour l'Histoire" comme le souhaitaient les avocats de la partie civile.
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Contactez-nousLa restitution prochaine par la France du Djidji Ayokwe, le tambour parleur des Ebriés de Côte d'Ivoire, constitue "un geste fortement historique", a salué lundi la chefferie traditionnelle de ce peuple de la région d'Abidjan.
A peine ouvert lundi, le procès de l'assassinat en 1987 du "père de la révolution burkinabè", Thomas Sankara, alors président du Burkina Faso, a été renvoyé au 25 octobre pour permettre aux avocats de la défense de consulter davantage le dossier.
Le 15 octobre 1987, l'ex-président et "père de la révolution burkinabè", Thomas Sankara, était tué lors d'un coup d'Etat: 34 ans après, le procès des auteurs présumés de son assassinat a débuté lundi devant le tribunal militaire de Ouagadougou qui étudiait un possible renvoi.
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Contactez-nousLe président algérien Abdelmadjid Tebboune a exigé de Paris dimanche "un respect total de l'Etat algérien", soulignant à l'adresse de son homologue français Emmanuel Macron que "l'histoire ne peut pas être falsifiée".
Le 15 octobre 1987, l'ex-président et "père de la révolution burkinabè", Thomas Sankara, était tué lors d'un coup d'Etat: 34 ans après, le procès des auteurs présumés de son assassinat s'ouvre lundi devant le tribunal militaire de Ouagadougou.
Malgré une pluie fine, des dizaines de personnes se pressent devant le mémorial Thomas Sankara à Ouagadougou, qui pour faire des photos, qui pour acquérir des gadgets à l'effigie du "père de la révolution burkinabè", tué lors d'un coup d'Etat en 1987, qui se vendent comme des petits pains.
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Contactez-nousIl voulait "décoloniser les mentalités" dans son pays et en Afrique où il est devenu une icône, mais Thomas Sankara, jeune président du Burkina Faso, n'a pu réaliser son rêve: en 1987 il est assassiné, quatre ans après le coup d'Etat qui l'avait porté au pouvoir.
Le procès de l'assassinat en 1987 lors d'un coup d'Etat de Thomas Sankara, ex-président et "père de la révolution" burkinabè devenu une icône panafricaine, s'ouvre lundi devant le tribunal militaire de Ouagadougou, suscitant 34 ans après des espoirs de "vérité" et de "justice".
La Turquie a taxé jeudi Emmanuel Macron de "populisme" après la publication de propos attribués au président français qualifiant le règne ottoman sur l'Algérie de colonisation et qui ont déclenché des remous diplomatiques.
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Contactez-nousLe ministre algérien des Affaires étrangères Ramtane Lamamra a imputé à une "faillite mémorielle" de la part du président français Emmanuel Macron les crises diplomatiques qui opposent la France à son pays et au Mali, selon des propos diffusés par la télévision malienne.
Karim Tabbou, une figure du mouvement de contestation Hirak en Algérie, a vivement critiqué mardi les propos du président français Emmanuel Macron dans lesquels il questionne l'existence d'une "nation algérienne" avant la colonisation française.
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