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Contactez-nousQuelques centaines de militants de la gauche radicale sud-africaine ont manifesté mercredi à Pretoria pour exiger que la France, taxée d'impérialisme post-colonial, quitte le continent africain, selon l'AFP sur place.
La police a empêché samedi à Bissau la tenue d'un congrès de l'ex-parti au pouvoir en Guinée-Bissau, après des divergences internes à la formation ayant conduit à des heurts avec les forces de l'ordre, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Les autorités maliennes dominées par les militaires ont fait savoir mercredi qu'elles étaient en discussion avec la communauté des Etats ouest-africains et d'autres partenaires pour trouver un "compromis" sur les échéances pour un retour des civils au pouvoir.
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Contactez-nousL'ex-ministre de la Justice de Tunisie Noureddine Bhiri, homme fort du parti d'inspiration islamiste Ennahdha, hospitalisé après son arrestation, refuse de s'alimenter et de prendre des médicaments, a indiqué lundi à l'AFP une source d'une délégation qui lui a rendu visite.
Le parti au pouvoir en Guinée équatoriale a créé la surprise en ne choisissant pas lors de son Congrès son candidat à la présidentielle de 2023, une première dans ce pays dirigé depuis 42 ans d'une main de fer par son président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo.
Le parti au pouvoir en Guinée équatoriale a créé la surprise en ne choisissant pas lors de son Congrès son candidat à la présidentielle de 2023, une première dans ce pays dirigé d'une main de fer par son président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo.
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Contactez-nousAmnesty International a exhorté lundi la junte au pouvoir au Tchad à "arrêter la campagne d'intimidation contre les voix dissidentes" et à "protéger la liberté d'expression", deux jours après des manifestations dispersées par la police à coups de gaz lacrymogènes.
Une manifestation d'opposition, interdite par les autorités, a été rapidement réprimée mercredi à Kinshasa par la police, qui a procédé à des interpellations, ont constaté de journalistes de l'AFP.
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a salué lundi la mise en liberté conditionnelle pour raisons médicales de son prédécesseur, Jacob Zuma, une décision prise à quelques jours de la reprise du procès pour corruption de l'ex chef d'Etat qui a provoqué la colère de l'opposition.
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