Retrouvez l'actualité sur Soudan avec Africa Radio
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Contactez-nousL'armée soudanaise a repris le palais présidentiel de Khartoum aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR). Ce regain de contrôle marque un tournant dans le conflit qui ravage le pays depuis 2023.
Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme s’inquiète des bombardements meurtriers à Khartoum et Omdurman, au Soudan. Il dénonce également des exécutions sommaires et des violences sexuelles commises par les belligérants.
Des attaques des paramilitaires soudanais ont causé la mort d'au moins cinquante personnes cette dernière semaine, dont 10 volontaires à Khartoum, ont indiqué mercredi 19 mars des secouristes.
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Contactez-nousEn Somalie, les autorités s'opposent à la proposition du président américain Donald Trump de transférer la population de la bande de Gaza sur leur territoire. De son côté, le Soudan rejette cette suggestion, jugée illégale par le traité de Rome.
L’annonce de la formation d’un gouvernement parallèle par les Forces de soutien rapide (FSR) et leurs alliés fait craindre une fragmentation du Soudan, déjà ravagé par un conflit meurtrier depuis avril 2023. L’Union africaine a mis en garde contre un "énorme risque de partition", appelant la communauté internationale à ne pas reconnaître cette initiative.
Des tirs attribués aux Forces de soutien rapide ont visé dimanche la ville d’El-Obeid, reprise récemment par l’armée soudanaise. L’attaque a causé la mort de neuf civils et fait 21 blessés. Une attaque meurtrière sur une ville stratégique.
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Contactez-nousUn hélicoptère de l’ONU a été pris pour cible, vendredi 7 mars 2025, dans l’État du Haut-Nil, au Soudan du Sud, faisant un mort et deux blessés au sein de l’équipage. L’ONU dénonce une attaque qui pourrait constituer un crime de guerre.
Le Soudan accuse les Émirats arabes unis de complicité de génocide devant la Cour internationale de justice de La Haye. Khartoum dénonce le soutien présumé des Emirats aux Forces de soutien rapide (FSR), en guerre depuis avril 2023 contre l'armée soudanaise. Le conflit a déjà fait des dizaines de milliers de morts.
Le Conseil de sécurité de l’ONU exprime sa « profonde inquiétude » après la signature par les paramilitaires soudanais d’une charte visant à établir un gouvernement parallèle. Une initiative qui pourrait aggraver le conflit.
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Contactez-nousAu moins six civils ont été tués dimanche dans un bombardement à l'artillerie contre un marché bondé près d'el-Facher, la capitale du Darfour-Nord dans l'ouest du Soudan.
Les paramilitaires des Forces de soutien rapide ont signé une charte, à Nairobi au Kenya dans la nuit de samedi à dimanche, avec leurs alliés pour former un gouvernement parallèle. Le ministre soudanais des Affaires étrangères, Ali Youssef, a déclaré dimanche que son pays "n'accepterait pas" la reconnaissance d'un "gouvernement parallèle".
Une attaque meurtrière dans un marché attribuée aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) a tué plus de cinquante civils près de Khartoum, à l'est du Soudan. Les Nations unies ont condamné, dimanche 2 février, ces attaques.
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Contactez-nousLe chef de l'armée soudanaise, le général Abdel Fattah al-Burhane, a repris son quartier général à Khartoum, occupé depuis août 2023 par les Forces de soutien rapide (FSR), menées par le général Hemedti.
Depuis le 15 avril 2023, le Soudan est plongé dans une guerre civile opposant les Forces armées soudanaises (FAS), dirigées par le général Abdel Fattah al-Burhan, et les Forces de soutien rapide (FSR), une milice paramilitaire commandée par le général Mohamed Hamdan Dagalo, dit Hemedti. Pour le journaliste soudanais Faisal Elbagir, ce conflit, au-delà d'être une simple lutte de pouvoir entre deux généraux, est une tragédie marquée par des violations massives des droits humains, une crise humanitaire aiguë et un inquiétant manque d'attention de la communauté internationale.
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